Tirant son nom de son emplacement « chapelle de la petite vallée ». Lieu de prière et d’accueil où l’on pouvait séjourner trois jours, les pèlerins se voyaient remettre de la nourriture pour un jour de marche.
Oratoire dédié à la Vierge sur la route de Néronde. La famille Laffay le fit construire en reconnaissance suite à un événement survenu à Lourdes au cours d'un de leurs pélerinages. La grotte de Félines est inspirée de l'aspect du lieu sacré de Lourdes.
Sur la route de St Galmier, au lieu-dit « La Tour », se trouvait la paroisse de ST ROMAIN LE VIEUX. La plus ancienne mention de Chazelles est faite sur une charte de 919 : une donation mentionne l’église dédiée à St Michel.
Cette église qui date du XIème-XIIème siècle a été récemment restaurée. La partie du chœur est d’origine, tandis que des agrandissements furent effectués au XVème et XVIIème siècle : chapelle Nord, clocher.
L’église de Saint-André-le-Puy date du XVIème siècle. A découvrir : vitraux réalisés par le maître-verrier baldomérien Mauvernay, un magnifique retable en bois, les fonts baptismaux, en bois peint et doré et une litre funéraire...
De style néo-gothique du XIXème siècle, l'église conserve deux chapelles transversales sur le bas coté dont une datant du XVème siècle, qui portent le clocher de 1667.
Attenant à l’église, le prieuré fut construit par les moines du 12 au 15ème siècle, en même temps que les fortifications - Remanié à plusieurs époques, le prieuré aujourd’hui restauré est un bâtiment remarquable qui sert pour des expositions
La plus ancienne mention connue de l'Eglise de Chambéon remonte au XIème siècle ("ecclesia de Cambedono") au XIIIème siècle, le chapitre de Lyon était collateur à la cure dont l'Eglise était dédiée à Saint-Etienne.
Située sur un promontoire dominant la plaine du Forez, la chapelle Notre Dame retrace l'histoire de Néronde depuis l'époque gallo-romaine jusqu'à la Renaissance. A voir les fresques du XIVème s, le rétable du XVIIème, les statues en bois polychrome
Lorsque l'on quitte Pouilly en direction de Civens, on découvre une modeste chapelle du 16ème siècle à demi cachée dans la verdure. Etablie sous le vocable du patron des bénédictins, c'était jadis un lieu de pélerinage très fréquenté pour se prémunir contre les fièvres paludéennes contractées par les personnes occupées à rouïr le chanvre dans des trous d'eau au liquide corrompu. Accès libre et gratuit - Clés à demander chez M. BERT (maison à droite de la chapelle).
L'église romane a été construite par les moines de Cluny lors des 11ème et 12ème siècles en utilisant des pierres de la région et des éléments sculptés d'édifices plus anciens. A remarquer à l'intérieur, le choeur dévié et les détails des chapiteaux.
L'église du village, consacrée à saint Laurent, revue entièrement au XIXe siècle, garde un élément extrêmement intéressant : elle est l'une des très rares en France à avoir gardé un clocher en bois. Son chœur est du XIIIe, son abside du XVe.
L'Eglise de Cleppé dédiée dans un premier temps à St Martin puis à partir du XVIIIème siècle à Notre Dame, date pour sa partie la plus ancienne de l'an 1000. Au fil des siècles, elle a été saccagée et modifiée maintes et maintes fois.
Elle date du 15ème siècle, certainement construite sur une plus ancienne du 12ème siècle. On peut remarquer la porte qui est en noyer de style Louis 15.
L’église actuelle fut inaugurée en 1843, complétée du grand autel en 1853 et de vitraux en 1857. Elle a été construite sur l’emplacement de l’ancienne église bâtie
vers 1250. L’église fut restaurée en 1932 puis à nouveau en 2011.
Elle date du 15ème siècle ; le clocher qui s’élève sur le chœur a été construit pour servir de défense au temps des guerres de religion et de la Ligue. Le village fut attaqué par les ligueurs en 1594 et sans doute détruit.
La vieille église daterait du 9ème siècle, vers 850. Selon certaines personnes elle n’avait qu’une seule nef, la grande nef de l’église actuelle (la partie comprise entre les piliers). Les piliers sont ainsi les pans de murs épargnés de l’ancienne église.
Elle fut construite en 1835 et achevée en 1839. En 1934, le curé Besset fait rehausser le clocher avec rapport d’une flèche. Elle a été restaurée en 200 avec mise en valeur des piliers en granit et elle possède de superbes vitraux.
L’édifice, de style néogothique en pierre de Volvic, a été construit en 1860 à
la place de l’église romane. Le porche roman est cependant conservé dans un
renforcement sur le côté droit de l’église.
L’église actuelle se situe sur l’emplacement d’une plus ancienne
datant du XIIème siècle, reconstruite dans un sens
perpendiculaire. Sa construction débuta en 1852, le clocher ne fut terminé
qu’en 1861. Il domine à 36 mètres à une altitude de 650 mètres.
Eglise du 19ème rénovée en 1989/1990. On peut découvrir à l’intérieur une statue en pierre représentant Ste Agathe ainsi qu’un plâtre de St Joseph, statues toutes deux réalisées par J. André Delorme, sculpteur natif de Ste Agathe célèbre à son époque.
Elle est née sur les ruines de la première église datant de 998, a été refaite en 1834 ; elle est vaste aux murs blancs cassés, soulignés de boiseries et de colonnes aux reflets crème.
Elle date du 19ème siècle (1858) et possède le clocher le plus haut des Montagnes du Matin. A propos, le clocher de l’église de St Martin et de son voisin celui de St Barthélémy Lestra sont les plus rapprochés d’Europe.
Ce petit temple de style antique a été construit sous la Restauration. Inauguré en 1826, en hommage aux victimes foréziennes de la Révolution exécutées à Feurs, il s'élève à l'emplacement même où la plupart des victimes ont été fusillées.
Sa construction a commencé en 1885.
Avant elle était une simple chapelle dépendante de l'église Saint-Pancrace du bourg de Veauche. Elle fût placée par la suite sous le vocable de Saint-Laurent patron des verriers.
L'église Notre Dame date essentiellement du 15è S. De l'eglise romane primitive ne subsistent que les murs du choeur et la tour ronde donnant autrefois accès à l'ancien clocher. La façade et la clocher actuel ont été édifiés au 19è S.
Cette chapelle est l'oeuvre de Marie Baraille, en religion Mère Sainte Zite, Supérieure du couvent des Soeurs St Charles à Lyon, qui l'a fait élever au début du siècle, sur la propriété qu'elle venait d'hériter de son père, marchand de vin à Feurs.
Elle date du 12ème siècle et a été reconstruite sur l’emplacement d’une plus ancienne qui était entourée à l’époque du cimetière. Cette église possède un cachet extérieur assez particulier avec ses deux tourelles de part et d’autre de l’entrée principale.